Pour favoriser le "manger local" dans les cantines, les circuits courts et les produits de saison ou bio, deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont créé "le bon sens", une plateforme numérique mettant en relation les gestionnaires de restaurants collectifs et les petits producteurs voisins.
Trois associations ont lancé fin mars une campagne pour aider les communes à supprimer les pesticides et à promouvoir une restauration collective "bio". Mode d'emploi.
Le toit de l'Opéra Bastille, les marches de Bercy, un parking en sous-sol sont quelques-uns des 47 sites de Paris dévoilés jeudi 14 avril qui sont mis à disposition par la ville et ses partenaires pour végétaliser la capitale, y faire pousser plantes et légumes et "répondre concrètement aux défis climatiques".
Paris, ville "minérale", veut végétaliser ses murs et ses toits et proposera dans les mois qui viennent, en s'inspirant de ce qui se fait à Bruxelles ou Chicago, 40 sites pour y faire pousser fleurs ou légumes, a annoncé mardi 9 mars la ville.
Décryptage. Depuis le Grenelle de l'environnement, la restauration collective est identifiée comme un levier majeur pour développer l'agriculture locale de qualité dans les territoires et pour donner accès à tous - dans les écoles, les hôpitaux, les entreprises - à une alimentation saine et de qualité. L'objectif de la loi pour l'ancrage territorial de l'alimentation, proposée en première lecture au Sénat le 9 mars, est de donner un nouvel élan à cette première dynamique qui n'a malheureusement pas porté ses fruits : 8 ans après le Grenelle, encore moins de 3 % des aliments servis dans les cantines sont bio.
Les politiques de lutte contre la pollution de l'air en France sont encore trop incohérentes, pointe un rapport publié jeudi 21 janvier de la Cour des comptes, qui recommande de mieux appliquer le principe "pollueur-payeur".
La 31e campagne des Restos du Cœur démarre ce lundi 30 novembre 2015.
Dans Bordeaux et sa région, il y a du vin et de l'eau, beaucoup d'eau. Mais les experts alertent sur la nécessité de mieux exploiter les réserves considérables du sous-sol aquitain, menacées par un assèchement climatique à l'horizon 2070.
Championne de la consommation durable, la Gironde est le département français le plus écologique, selon le palmarès 2015 de l'hebdomadaire La Vie.
La commune de Liffré (7 500 habitants), près de Rennes, a décidé de soutenir les éleveurs laitiers qui réduisent les émissions de gaz à effet de serre de leurs vaches en modifiant leur alimentation.
Vendredi 2 octobre, aux Alluets-le-Roi, l'ensemble des signataires était réuni pour formaliser leur engagement pour préserver et dynamiser le secteur agricole dans les 2 Rives de Seine.
Anne-Gaëlle Baudouin-Clerc a installé mardi 29 septembre 2015 la commission départementale de la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers (CDPENAF).
Le conseil départemental de Côte-d'Or a voté lundi 31 août en session extraordinaire une aide exceptionnelle de 750 000 euros pour les éleveurs victimes de la sécheresse.
Pendant la crise, le bétonnage continue. Entre 2006 et 2014, près de 500 000 hectares ont été artificialisés au profit d'habitations, de parkings et de routes, dont les deux tiers ont été gagnés sur des terres agricoles.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) plaide pour la défense des terres agricoles contre la pression urbanistique mais aussi contre l'appauvrissement des sols, dans un projet d'avis rendu public mercredi 13 mai 2015.
La MSA met en place Agri'écoute, un service d'écoute national dédié à ses adhérents.
Justice sociale, éducation, lutte contre le gaspillage, soutien du modèle agricole français sur tout le territoire sont les quatre piliers de la politique publique de l'alimentation du ministre de l'Agriculture.
Le gouvernement veut faire rimer politique publique de l'alimentation et justice sociale.
L'association des Maires de France (AMF) a réclamé jeudi 19 décembre 2013 "le report au 1er janvier 2015" de la réforme de la cotisation foncière des entreprises (CFE), dont elle dénonce "les conséquences inacceptables" sur les finances communales et intercommunales.
Les régions Corse, Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte d'Azur et Rhône-Alpes réclament davantage d'aides de la prochaine politique agricole commune (PAC) au vu des "spécificités méditerranénnes".