Le gouvernement vient d’annoncer le gel du montant des droits d’inscription pour la rentrée universitaire 2016-2017.
Pour favoriser le "manger local" dans les cantines, les circuits courts et les produits de saison ou bio, deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont créé "le bon sens", une plateforme numérique mettant en relation les gestionnaires de restaurants collectifs et les petits producteurs voisins.
Décryptage. Depuis le Grenelle de l'environnement, la restauration collective est identifiée comme un levier majeur pour développer l'agriculture locale de qualité dans les territoires et pour donner accès à tous - dans les écoles, les hôpitaux, les entreprises - à une alimentation saine et de qualité. L'objectif de la loi pour l'ancrage territorial de l'alimentation, proposée en première lecture au Sénat le 9 mars, est de donner un nouvel élan à cette première dynamique qui n'a malheureusement pas porté ses fruits : 8 ans après le Grenelle, encore moins de 3 % des aliments servis dans les cantines sont bio.
Pour la santé des enfants qui mangent à la cantine, le cadre est aussi important que le contenu de l'assiette, selon une étude dévoilée jeudi 18 février, qui souligne l'importance du plaisir de table, du silence et de connaître le cuisinier.
Lutte contre le gaspillage, soutien aux associations d'aide alimentaire, limitation des biodéchets, renforcement du lien social sont les objectifs de l'initiative bordelaise.
Marisol Touraine réaffirme la volonté du gouvernement d’engager « des politiques justes et efficaces de prévention et de lutte contre l’obésité ».
Le recteur de la grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, dénonce un "débat hystérique" sur les repas de substitution dans les cantines scolaires, quand le grand rabbin de France, Haïm Korsia, voit "une hérésie" dans le fait de vouloir les supprimer.
La décision du maire UMP de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret, de supprimer le menu de substitution dans les cantines scolaires, au nom du "principe de laïcité", a été condamnée mardi jusqu'au gouvernement.
Les députés ont adopté une proposition de loi garantissant le droit d'accès à la cantine pour tous les enfants.
Justice sociale, éducation, lutte contre le gaspillage, soutien du modèle agricole français sur tout le territoire sont les quatre piliers de la politique publique de l'alimentation du ministre de l'Agriculture.
Le gouvernement veut faire rimer politique publique de l'alimentation et justice sociale.
L’Île-de-France entame une véritable révolution dans les cantines de ses lycées dès septembre 2014.
La campagne "Zéro phyto, 100 % bio" sensibilise les collectivités à la réduction de l'usage des pesticides et à la promotion de l'agriculture biologique, dans les cantines notamment.
La centaine de lycées du Val d'Oise et de la Seine-Saint-Denis vont mettre en place à la rentrée prochaine une nouvelle tarification des cantines basée sur le quotient familial, une mesure régionale qui sera étendue à tous les lycées d'Ile-de-France d'ici 2017.
Le débat revient fréquemment et notamment à travers des cas relativement médiatisés. De plus en plus de parents revendiquent ouvertement le droit à choisir la composition des repas de leur enfant et souvent pour des motifs religieux. Que dit la réglementation en la matière ?
C’est ce qu’a annoncé Henriette Zoughebi, vice-présidente du Conseil régional d'Ile-de-France en charge des lycées.
La région Île-de-France va adopter la première étape de la mise en place d'une tarification unifiée dans les cantines des lycées, basée sur le quotient familial, a annoncé mardi 10 décembre Henriette Zoughebi, vice-présidente en charge des lycées.
Les départements dépensent en moyenne 7 640 euros par an pour chaque collégien, a indiqué mercredi 4 septembre leur association à l'occasion de la rentrée scolaire 2013-2014.
Le Défenseur des droits rappelle ses recommandations sur l'accès des enfants de l'école primaire à la restauration collective.
Un calendrier « prévisionnel » de mise en œuvre du fonds d'amorçage « pour la réforme des rythmes scolaires dans le premier degré » a été établi par le ministère et transmis aux recteurs, secrétaires généraux et Dasen. Il a également été présenté aux associations de représentants d'élus le 13 juin 2013.