PwC classe quinze villes en fonction de soixante indicateurs comme le taux d’emploi, le coût du logement et des transports, le nombre de chambres d’hôtel, la pollution de l’air, ou encore les résultats au baccalauréat.
Ces critères sont ensuite répartis en trois grands thèmes : « potentiel et connexion au monde », « qualité et cadre de vie », et « capital économique ».
Bien que Paris arrive en première position sur le plan économique, Lyon termine en tête du classement grâce à « d’excellentes performances sur l’ensemble des indicateurs » et une deuxième place pour chacune des trois grandes thématiques, explique PwC.
Pour « la qualité et le cadre de vie », c’est Bordeaux qui affiche le meilleur score, forte de ses résultats dans les domaines de la santé, de l’environnement et la qualité des infrastructures urbaines.
Sur ce thème, Paris n’est que sixième derrière Bordeaux, Lyon, Nantes, Strasbourg et Aix-en-Provence.
Toulouse, troisième au classement général, bénéficie quant à elle de son importante population étudiante et d’un bon taux d’insertion à la sortie des universités.
Sur les quinze métropoles étudiées, c’est Brest qui arrive en dernière position, même si Pwc y relève des « signes d’attractivité très positifs » avec une première place pour le taux de création d’entreprises et une seconde position relative à la croissance urbaine.
Source : Villes d’aujourd’hui, métropoles de demain, Étude PWC, 1er décembre 2015
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