La députée du Puy-de-Dôme Christine Pirès-Beaune et le sénateur d'Indre-et-Loire Jean Germain, deux socialistes, ont été chargés par Manuel Valls d'une mission sur la réforme de la dotation globale de fonctionnement (DGF), l'une des principales recettes des collectivités territoriales, a annoncé mardi 20 janvier l'Hôtel Matignon dans un communiqué.
La baisse des dotations financières de l'État aux collectivités pèse sur l'investissement des communautés urbaines et des métropoles, par conséquent sur le dynamisme économique et l'emploi de ces territoires, selon leurs représentants réunis à Lyon jeudi et vendredi 7 novembre.
Le gouvernement et la majorité sont arrivés vendredi soir à un compromis sur la baisse des dotations aux collectivités locales, qui sera en partie compensée par une aide à leurs investissements, lors du débat sur le projet de budget 2015.
Les nombreux dispositifs de péréquation sont parfois contradictoires ou redondants. Un rapport estime qu'il convient de profondément les remanier, ainsi que la dotation globale de fonctionnement, d'ici 2016.
Le Comité des finances locales (CFL) a réaffirmé mercredi 16 juillet son souhait d'obtenir de l'État une atténuation de l'effort de 11 milliards d'euros demandé aux collectivités pour 2015-2017, et reporté à septembre la discussion en son sein sur la répartition de cet effort.
L'Association des Maires de France souhaite lancer une action "forte et collective", en demandant aux maires de soutenir une motion dénonçant la baisse des dotations.
Les "Territoires urbains", nouveau nom de l'Association des maires des grandes villes de France (AMGVF), a mis en garde mercredi 2 juillet contre les effets d'une baisse trop "brusque" des dotations de l'État aux collectivités locales.
Les associations d'élus locaux ont réclamé mardi 24 juin un ralentissement temporaire des baisses de dotations aux collectivités locales, alors que l'État a prévu d'économiser 11 milliards d'euros dans ce domaine d'ici à 2017.
Le redécoupage territorial réduit les régions et supprime à terme les départements, un échelon de proximité utile au service public. Au lieu d'entraîner des économies, cette réforme pourrait en réalité coûter cher.
La réforme territoriale décidée par le gouvernement n'aidera probablement pas les collectivités locales à atteindre leurs objectifs budgétaires, estime l'agence de notation Moody's Investors Service.
La ministre de la Décentralisation Marylise Lebranchu, interrogée mardi 4 mars sur une baisse de 10 milliards d'euros des aides aux collectivités locales évoquée par Le Parisien, a jugé qu'on n'arriverait pas à ce montant.
Le rapport de la Cour des comptes prône la réduction des dépenses locales. Les élus souhaitent que cette réduction réponde à des critères équitables, pour éviter des impacts brutaux.
La Cour des comptes passe à la loupe les dépenses des collectivités locales et recommande leur "freinage" dans son premier rapport annuel consacré aux finances publiques locales, publié lundi 14 octobre 2013.
La Fédération des villes moyennes (FVM) a demandé vendredi 7 juin que la réduction des dotations de l'État aux collectivités territoriales en 2014 et 2015 soit calculée en fonction du "revenu par habitant", pour que les villes les moins riches soient moins pénalisées.
La dématérialisation des procédures dans les collectivités est inégale : avancée dans certains domaines (relations avec les associations, état civil...), en retard dans d'autres.
Le président de la République, François Hollande, et le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, seront samedi 12 janvier 2013 à Marseille pour le lancement de la Capitale européenne de la Culture Marseille Provence 2013, ont annoncé jeudi 3 janvier les organisateurs de l'événement.
Les directeurs généraux des collectivités locales ont qualifié vendredi 21 décembre l'avant-projet de loi sur la décentralisation de "nouvelle étape", se félicitant que les régions puissent désormais définir dans la concertation une vision stratégique sur un territoire", à l'issue de rencontres à Matignon et au ministère de la Réforme de l'État.
Treize grandes villes, la plupart dirigées par des socialistes, sont prêtes à mettre en œuvre la réforme des rythmes scolaires en primaire à la rentrée de septembre 2013, a annoncé jeudi l'Association des maires de grandes villes de France (AMGVF), qui représente 46 grandes villes.
Malgré l'existence d'un droit à la formation, peu d'élus locaux en bénéficient réellement. Un rapport du Sénat propose des pistes pour améliorer les actions de formation.
Maires et présidents de communautés souhaitent que leur rôle soit mieux reconnu et renforcé par l'État, afin de participer, en confiance, à la nouvelle étape de décentralisation.