Les communes rurales qui gèrent des cantines scolaires en maternelle et élémentaire pourront bénéficier d'une subvention de l'État pour s'équiper en vue de respecter les obligations fixées par la loi Egalim, de servir 50 % de "produits bio, de qualité et durables" d'ici à 2022.
L’AMF a réalisé une enquête pour mieux connaître l'organisation des services de restauration scolaire après la loi Egalim.
Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation publie un nouveau guide support à l’expérimentation du menu végétarien en restauration scolaire.
Proposer deux menus végétariens par semaine dans les cantines scolaires, contre un seul comme l'impose la loi Egalim depuis dix mois, et une alternative 100 % végétale les autres jours, aurait un impact environnemental très positif, selon Greenpeace.
Le Conseil national de la restauration collective a publié, au cœur de l’été, un guide pour aider les cantines à proposer un menu végétarien par semaine.
La restauration scolaire coûte cher aux communes françaises, qu'elle soit gérée en direct ou confiée à un prestataire via un contrat souvent défavorable, et cela ne garantit pas un accès égal à la cantine, regrette mardi 25 février 2020 la Cour des comptes.
Manger bio et local dans les cantines scolaires, "c'est politique". Ce slogan d'un réseau de cantines bio est devenu celui de maires précurseurs qui n'ont pas attendu la loi alimentation (Egalim) pour faire manger sainement, sans surcoût, les enfants de leur commune.
Mettre du bio dans les assiettes, favoriser les producteurs locaux, éduquer les enfants à bien manger, protéger l'environnement : la restauration scolaire est un puissant levier pour accélérer la transition alimentaire, estime la fondation Terra Nova, qui propose des pistes d'action.
Limiter le gaspillage, acheter des produits bruts, introduire des plats végétariens et nouer des partenariats locaux, telles sont les stratégies des restaurants collectifs pour absorber le surcoût lié au passage à 20 % de produits bio d'ici 2022 fixé par la loi Egalim, selon l'Agence bio.
Depuis vendredi 1er novembre, les cantines scolaires doivent servir un repas végétarien hebdomadaire, une petite révolution silencieuse pour les enfants mais aussi, en cuisine, pour des chefs souvent habitués à traiter les légumes en simple garniture.
La loi Egalim a fixé pour 2022 des objectifs aux collectivités territoriales et à leurs établissements publics non seulement pour améliorer la qualité et favoriser la distribution de produits locaux et bios dans les restaurants collectifs scolaires, mais également pour lutter contre le gaspillage et contribuer à l’aide alimentaire. Le point sur ces dispositions.
Approvisionnement de la restauration collective, réduction du gaspillage, lutte contre la précarité alimentaire... Le programme national pour l'alimentation 2019-2020 (PNA3), lancé fin octobre, dispose de 2 millions d'euros pour aider les projets alimentaires des territoires.
À Puteaux, les 2 500 demi-pensionnaires décident, avant chaque déjeuner, quelle sera la taille de leur plateau-repas. Le programme "Appétit de moineau, faim de loup" leur apprend à limiter les déchets alimentaires et les éduque à l'alimentation et au goût.
Le collège Pierre-Fanlac de Belvès, en Dordogne, est officiellement devenu vendredi 13 septembre 2019 le premier établissement du secondaire en France labellisé 100 % bio pour sa restauration collective.
Pour la municipalité vannetaise, l’environnement est une conviction. Et elle le prouve en produisant elle-même une partie des fruits et légumes qui alimenteront les crèches et les écoles de la ville, dès la rentrée 2019.
Régie, société publique locale, marché public de prestation de services, mission globale déléguée au privé, mixité des gestions directe et déléguée : chaque territoire choisit, pour ses services publics, les modes de gestion les plus appropriés. L'atlas 2019 de l'Institut de la gestion déléguée les étudie en détail.
Des lycées accessibles par pistes cyclables, des cantines avec moins de viande et de gaspillage, des poubelles de tri dans les établissements... : des dizaines de lycéens ont présenté vendredi 5 avril 2019 à plusieurs ministres leurs propositions pour lutter contre le réchauffement climatique.
Grâce aux circuits courts, le conseil départemental du Lot-et-Garonne permet aux agriculteurs locaux de fournir les restaurants scolaires. Bilan de cette opération intitulée "Du 47 dans nos assiettes" : de meilleurs repas, une diminution du gaspillage alimentaire et un soutien à l'agriculture de proximité.
Avec le programme "Fruits, légumes et lait dans les écoles", l'Union européenne aide les collectivités à sensibiliser les jeunes élèves à la diversification alimentaire dès l'enfance.
La FNAQPA et Adef Résidences invitent 500 Ehpad à s’engager dans la lutte contre le gaspillage alimentaire et la dénutrition.