La CFDT de la fonction publique a lancé mardi 22 mars une pétition réclamant "une négociation annuelle obligatoire" sur les salaires face au "malaise des agents", que le dégel du point d'indice ne suffira pas à lever, selon elle.
La CFDT de la fonction publique a annoncé vendredi 18 mars qu'elle maintenait son appel à la grève pour mardi, lancé avant le rendez-vous salarial de jeudi avec le gouvernement, jugeant que la revalorisation annoncée de 1,2 % du point d'indice en deux fois n'était "pas suffisante".
La ministre de la Fonction publique, Annick Girardin, a annoncé jeudi 17 mars une hausse de 1,2 % en deux fois du point d'indice servant à calculer les rémunérations des fonctionnaires, gelé depuis près de six ans, ce qui représente un coût de 2,4 milliards d'euros, a-ton appris auprès des syndicats et du ministère. Un "premier geste" jugé "insuffisant" par la plupart des syndicats.
Les syndicats de fonctionnaires ont rendez-vous jeudi 17 mars avec la ministre de la Fonction publique Annick Girardin pour un premier rendez-vous salarial très attendu après six années de gel des augmentations générales, dans un climat social très tendu.
La ministre de la Fonction publique Annick Girardin a fixé au 17 mars le rendez-vous salarial avec les syndicats, qui réclament une revalorisation "significative" du point d'indice servant de base aux salaires, et menacent d'une nouvelle mobilisation le 22 mars.
Non : c'est donc une mesure d'ordre intérieur, prise dans l'intérêt du service et donc insusceptible de recours.
La CGT Fonction publique a déploré jeudi 28 janvier dans un communiqué le vote, la veille, par le Sénat, du projet de loi, modifié, sur la déontologie des fonctionnaires, et dénoncé des "mesures rétrogrades".
La ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu a répété mardi 26 janvier que les fonctionnaires ne devaient pas s'attendre à une "grosse augmentation du point d'indice" lors de la négociation salariale prévue en février, tout en assurant "entendre" leurs revendications.
Les organisations syndicales CGT, FO et Solidaires de la Fonction publique ont lancé vendredi 18 décembre un appel à la grève pour le 26 janvier "pour un service public de qualité et une nette augmentation du pouvoir d'achat".
Près de 5 300 contrats d'intérim de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), entre le 1er janvier et le 31 août 2015, seraient non conformes au droit du travail, selon une enquête de l'Inspection du travail révélée mardi par le journal l'Opinion.
L'Unsa Fonction publique et l'Uffa-CFDT mettent en garde mardi 10 novembre contre une tentative de "renouer avec la politique du chiffre" et les risques d'une "individualisation irraisonnée", après les déclarations d'Emmanuel Macron, favorable à un accroissement de "la part de mérite" dans la rémunération des fonctionnaires.
Martin Hirsch, directeur général de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, a signé avec la CFDT un accord sur l'organisation et le temps de travail, qui sera progressivement mis en place à partir du 1er janvier 2016, a annoncé mardi 27 octobre la direction de l'AP-HP.
L'Assemblée nationale a adopté mercredi soir le projet de loi sur la déontologie des fonctionnaires, après quelques retouches à ce texte qui vise notamment à mieux lutter contre les conflits d'intérêts et à protéger les "lanceurs d'alerte".
Un espace numérique sécurisé de l'agent public (ENSAP) sera prochainement ouvert à chaque agent, qu'il soit civil ou militaire, titulaire ou contractuel. Six millions d'utilisateurs sont ainsi potentiellement concernés dont 2,5 millions d'actifs.
Protéger les "lanceurs d'alerte", mieux lutter contre les conflits d'intérêts ou affirmer le respect du principe de laïcité : l'Assemblée examinera à partir de mercredi 7 octobre le projet de loi sur la déontologie des quelque 5 millions de fonctionnaires.
Les députés ont modifié jeudi 1er octobre les règles de validation des accords dans la fonction publique, après l'échec des négociations sur la rémunération des agents, lors de l'examen en commission du projet de loi sur la déontologie des fonctionnaires.
À l'issue de la consultation des agents menée par les organisations de la CGT Fonction publique, celles-ci ont pris la décision de ne pas signer le protocole d'accord issue de la négociation portant sur les parcours professionnels carrières et rémunérations (PPCR) des agents de la Fonction publique.
25 000 ingénieurs territoriaux attendent depuis plusieurs années la rénovation de leurs cadres d'emplois. Les partenaires sociaux se sont opposés aux projets de décret présentés le 16 septembre dernier devant le Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.
Le gouvernement a choisi mercredi 30 septembre de passer en force sur le projet d'accord sur la rémunération et les carrières (PPCR) des fonctionnaires, déclenchant la fureur des syndicats non-signataires, CGT, FO et Solidaires, majoritaires aux élections professionnelles.
Manuel Valls a annoncé mercredi 30 septembre que le projet d'accord sur les parcours professionnels, les carrières et les rémunérations (PPCR) des fonctionnaires négocié depuis un an "s'appliquerait", même s'il n'a pas obtenu l'accord de syndicats représentant au moins 50 % des voix, du fait notamment des refus de la CGT, FO et Solidaires.