Le Collège de la médecine générale (CMG) s'est dit lundi 16 décembre 2019 inquiet d'une possible levée du secret médical dans le cadre des mesures prévues par le gouvernement pour lutter contre les violences faites aux femmes, l'estimant "contre-productive".
À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes, le CNFPT a rappelé son engagement pour accompagner les collectivités dans cette grande cause nationale.
Le CESE plaide pour un développement des alternatives à la prison et une meilleure réinsertion des personnes détenues.
Le gouvernement annonce 30 nouvelles mesures « pour combattre le fléau des violences faites aux femmes ».
Un centre destiné à accueillir les femmes victimes de violences a ouvert à Nantes lundi 25 novembre 2019 et permettra d'effectuer dans un même lieu des démarches juridiques, médicales et auprès des services sociaux au sein d'un bâtiment sécurisé et adapté pour recevoir des enfants de tous âges avec leur mère.
Le gouvernement vient d’annoncer 22 nouvelles mesures pour lutter contre les violences faites aux enfants.
Pas assez d'hébergements dédiés aux femmes victimes de violences, une définition du viol problématique, une réponse pénale "insuffisante", des enfants témoins trop peu soutenus : dans un rapport rendu public mardi 19 novembre 2019, un organe du Conseil de l'Europe pointe des lacunes françaises.
École, services sociaux, établissements pénitentiaires pour mineurs : le Défenseur des droits appelle lundi 18 novembre 2019 les institutions à mieux garantir les droits des enfants, après avoir été saisi de nombreux cas de violences dans des lieux accueillant les plus jeunes.
30 partenaires nationaux et plusieurs ministères ont décidé de s’engager pour développer le travail d’intérêt général (TIG).
Un projet de loi prévoit des dispositions relatives au divorce et à la séparation de corps par consentement mutuel et en matière de protection juridiques des majeurs.
5 novembre 2018, deux immeubles s'écroulent comme un château de cartes au cœur de Marseille : huit personnes meurent, des milliers doivent être évacuées. Un an plus tard, l'enquête révèle un drame du logement insalubre largement prévisible.
Faciliter les signalements par les professionnels de santé, mieux former les forces de l'ordre, instaurer un "brevet contre la violence" dans les écoles : les groupes de travail du "Grenelle" contre les violences conjugales présentent mardi 29 octobre 2019 de premières propositions, dont le gouvernement a promis qu'il allait s'« inspirer".
Une proposition de loi visant à agir contre les violences au sein de la famille est en cours de discussion au Parlement.
Incivilités, injures, menaces, agressions physiques : 92 % des élus municipaux, qui ont répondu à la consultation lancée par le Sénat après la mort du maire de Signes, rapportent avoir été victimes de ce type de violences, auxquelles la Chambre haute entend "donner un coup d'arrêt".
Est Ensemble, qui regroupe neuf communes de Seine-Saint-Denis, a engagé mardi 24 septembre 2019 un "bras de fer" avec l'État en refusant de signer un protocole sur la politique de la ville, exigeant plus de moyens pour faire face aux inégalités qui touchent le territoire, a-t-il annoncé à l'AFP.
Moins de policiers, une justice lente et des enseignants qui ne restent pas : cinq maires de Seine-Saint-Denis dénoncent une "rupture d'égalité" par rapport aux autres communes françaises et annoncent leur intention de déposer un recours contre l'État.
Un financement exceptionnel de 33,68 millions d'euros va être réparti entre les départements pour contribuer à l'accueil des "mineurs non accompagnés" pris en charge en 2018, selon un arrêté publié dimanche 1er septembre 2019 au Journal officiel.
Référendum d'initiative partagée, proportionnelle, non-cumul des mandats ou climat : voici les principales mesures de la réforme des institutions présentée mercredi 28 août 2019 au Conseil des ministres par la garde des Sceaux, Nicole Belloubet.
Le plan national de lutte contre le travail illégal pour la période 2019-2021 comporte 34 actions articulées autour de quatre axes.
Quarante ans après la Suède, la France est devenue, mardi 2 juillet 2019, le 56e État à bannir les châtiments corporels : le Parlement a adopté définitivement, par un ultime vote du Sénat, une proposition de loi visant à interdire les "violences éducatives ordinaires", coups, gifles, mais aussi humiliations, insultes, brimades ou moqueries.