Il appartient à l’ARS, comme à tout tiers, de démontrer qu’elle a été lésée dans ses intérêts de façon suffisamment directe et certaine par la passation ou les clauses d’un tel marché pour en contester la validité ou demander la suspension de l’exécution de ce marché.
Texte de référence : Conseil d’État, 7e – 2e chambres réunies, 2 juin 2016, n° 395033, Publié au recueil Lebon