En l’espèce, la responsabilité du maître d’œuvre est engagée pour manquement de celui-ci à son devoir de conseil. En effet, il n’a pas appelé l’attention du maître de l’ouvrage sur les défauts décelables et de nature à faire obstacle à ce que la réception définitive soit prononcée sans réserves.
Texte de référence : CAA Bordeaux, 7 juillet 2016, req. n° 14BX01604