L’État pourrait ainsi renforcer l’impact d’une telle notation en expérimentant l’effet d’un bonus financier comme accélérateur des évolutions attendues par la création d’un label commun. Qu’elles soient fiscales, sociales, ou d’accès aux marchés publics, les mesures proposées viseraient les entreprises ayant réalisé des efforts significatifs en matière de RSE. L’État reconnaîtrait ainsi leur contribution positive à une politique de prévention évitant des dépenses publiques de « réparation » sociales et environnementales.
Texte de référence : Proposition de loi du portant création d’une certification publique des performances sociales et environnementales des entreprises et expérimentation d’une comptabilité du XXIe siècle, 22 octobre 2019