Elles ont ainsi faussé la concurrence. « Les échanges d’informations […] sur les prix perturbent nécessairement le jeu normal de la concurrence », peut-on lire dans la décision n°10-D-10 du 10 mars 2010 de l’Autorité de la concurrence. Ce procédé « suffit à caractériser un accord de volonté des entreprises ayant pour objet ou effet de fausser la concurrence devant s’exercer entre elles
».