La Cour reproche notamment à la directrice, pour un marché de fournitures et d’installation d’équipements audiovisuels et de mobiliers spécifiques de plus d’un million d’euros, l’absence de publicité européenne. Pour d’autres marchés, le juge constate, en procédure adaptée, l’absence de publication au BOAMP ou dans un journal d’annonces légales. Enfin, d’autres contrats ont été conclus en dehors de tout contrat écrit et de toute mise en concurrence.
Texte de référence : Cour de discipline budgétaire et financière, arrêt du 26 juin 2017 « École nationale supérieure Louis Lumière », n° 214-758