Pour assurer la continuité du chantier, l’entreprise titulaire avait pris en charge le paiement de travaux supplémentaires effectués par le sous-traitant régulièrement agréé. Selon le Conseil d’État, le surcoût engendré par la faute du maître d’œuvre n’imposait pas le paiement direct par le maître d’ouvrage (Conseil d’État, 23 mai 2011, Société Lamy, req. n° 338780).