Il doit notamment établir la synthèse des plans et spécifications et, le cas échéant, prendre en compte les dispositions découlant d’un permis de construire modifié. En l’espèce, les désordres peuvent être imputés, pour sa mission de conception, au maître d’œuvre en raison d’une formulation maladroite et approximative du cahier des clauses techniques particulières qu’il a rédigé
Texte de référence : Cour administrative de Lyon, 4e chambre, 22 octobre 2020, n° 18LY03397, Inédit au recueil Lebon