Le CCAG travaux admet que la prise de possession puisse précéder la réception en cas d’urgence. Or, en l’espèce, la rentrée scolaire rendait indispensable l’utilisation du bâtiment. Par ailleurs, le maître d’œuvre a clairement indiqué au titulaire que ses demandes de paiement seraient rejetées, tant qu’il ne procèderait pas à la reprise des malfaçons affectant l’installation de chauffage.
Texte de référence : CAA de Douai, 3e chambre – formation à 3, 29 mai 2019, n° 17DA01465, Inédit au recueil Lebon