La Cour des comptes reproche le recours infondé du ministère de la Défense au partenariat public-privé (PPP) pour des travaux de rénovation et de construction qui ne présentaient ni un caractère d’urgence, ni une complexité juridique et financière suffisante.
Au mode de financement peu approprié, la Cour constate une gestion de projet insuffisante. Le léger avantage économique et financier que le PPP procurait par rapport à une opération conduite en maîtrise d’ouvrage publique était fondé sur des hypothèses optimistes de fréquentation du site par le grand public.