Les travaux en cause ont été réceptionnés sans réserve, ce qui a mis fin aux rapports contractuels entre le maître d’ouvrage et les différents participants à ces travaux. En conséquence, le maître d’ouvrage n’est pas fondé à rechercher la responsabilité contractuelle des constructeurs pour des désordres limités tenant à des infiltrations.
Texte de référence : CAA Nantes, 4e chambre, 16 mars 2018, n° 16NT03855, Inédit au recueil Lebon