Hormis le médecin traitant qui dispose d’un avis médical, la personne âgée en perte d’autonomie doit être assistée dans les actes de la vie courante. Certains de ces intervenants (enfants, infirmière, aide à domicile, etc.) peuvent ainsi constater les carences au quotidien et les évolutions dans les difficultés d’ordre physique, domestique et social. La commission peut ainsi s’appuyer du questionnaire de l’entourage, pour optimiser le besoin d’aide du demandeur.