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Portraits d'acteurs

Bruno Malhey

Directeur Général des Services de la communauté d’agglomération Paris Vallée de la Marne

« La volonté de participer, avec enthousiasme et modestie, à la co-écriture de la grande aventure du service public, déclinée en touches locales contrastées. Une œuvre d'art changeante, chatoyante, en mouvement perpétuel... »

Quelles sont vos fonctions actuelles ?

Bruno Malhey : Je suis DGS de la communauté d’agglomération Paris Vallée de la Marne.

Quelles ont été les grandes étapes de votre parcours professionnel ?

Bruno Malhey : Un double cursus en droit public (université) et en management (école de commerce). Une carrière en consulaire, en fonction publique de l'État puis Territoriale, ponctuée d’actions d’enseignement et de formation, d’écriture d’articles sur une dizaine de lieux en France métropolitaine et autant d’employeurs.

Citez le projet qui vous a le plus marqué et dont vous êtes le plus fier ?

Bruno Malhey : Difficile de choisir dans une palette d'actions très différentes dans leur ampleur, leur finalité, leur contenu... avec une constante : celle du partage. Je suis fier d'avoir su impulser des projets aussi complexes que passionnants, parfois difficiles, souvent peu compréhensibles a priori, avec des équipes fidèles et enthousiastes.

Avez-vous un rêve que vous souhaiteriez concrétiser ?

Bruno Malhey : Éditer un livre de fiction sans rapport avec mes activités professionnelles.

Comment décririez-vous votre engagement personnel en tant qu’acteur public ?

Bruno Malhey : La volonté de participer, avec enthousiasme et modestie, à la co-écriture de la grande aventure du service public, déclinée en touches locales contrastées. Une œuvre d'art changeante, chatoyante, en mouvement perpétuel...

Quelles sont les qualités essentielles inhérentes à vos fonctions ?

Bruno Malhey : L’écoute, l’humilité, l’ubiquité, l’analyse, l’adaptation, la bienveillance, la curiosité...

Quelles sont les rencontres qui vous ont le plus marqué dans votre carrière ?

Bruno Malhey : Quelques professeurs, quelques élus... et quelques collègues qui sont devenus des amis ou des amours. En tout une douzaine de personnes qui m’ont fait battre le cœur, qui m’ont donné l'impression, fugace ou durable, d'être vivant... c'est-à-dire au bon endroit au bon moment.