Webinaires printemps de la recherche en éducation

Éducation

lundi 31 mai 2021

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Participez au cycle de webinaires "Printemps de la recherche en éducation" initié et organisé par le Réseau des INSPÉ.

En vous inscrivant sur cette page, vous serez automatiquement inscrit.e pour le cycle de webinaires « Printemps de la recherche en éducation » initié et organisé par le Réseau des INSPÉ proposant 11 conférences aux dates suivantes :

  • 29 mars – 14 h/15 h
  • 9 avril – 11 h/12 h
  • 12 avril – 14 h/15 h
  • 16 avril – 14 h/ 15 h
  • 23 avril – 14 h/15 h
  • 27 avril – 14 h/15 h
  • 28 avril – 14 h/15 h
  • 7 mai – 14 h/15 h
  • 10 mai – 11 h/12 h
  • 11 mai – 14 h/15 h
  • 18 mai – 15 h/16 h
  • 31 mai – 14 h/16 h table ronde

La thématique retenue cette année est la suivante : « Développer l’esprit critique des élèves : enjeux pour la formation des enseignants et personnels d’éducation ».

L’objectif de cette manifestation est de promouvoir et de mettre en évidence les apports des recherches en éducation et leur lien avec la formation des enseignant.e.s et personnels
d’éducation. Cette manifestation est une occasion unique pour tou.te.s celles et ceux qui
souhaitent, d’une part, connaître les apports des recherches en éducation à cette thématique, et d’autre part, trouver des dispositifs de formations qui s’appuient sur ces recherches. L’idée qu’un ensemble de champs disciplinaires (didactique des disciplines, économie, éducation, histoire, neurosciences, numérique éducatif, psychologie, sciences de l’éducation, sciences de l’information et de la communication, sciences du langage, sociologie, philosophie, etc.) puissent alimenter la réflexion sur la formation des enseignant·e·s est maintenant largement partagée. Pour autant, ces disciplines sont constituées par des communautés de chercheur·e·s qui échangent majoritairement à l’intérieur de leur communauté.

La formation des enseignant·e·s a, quant à elle, besoin d’articuler les différents apports des recherches de manière interdisciplinaire. Or, peu de manifestations de recherches en éducation permettent aux disciplines de se rencontrer. Plus rares encore sont celles spécifiquement dédiées à la formation des enseignants. Pour cette raison, le réseau des INSPÉ a pour objectif de permettre la rencontre des différentes disciplines s’inscrivant dans le domaine des recherches en éducation sur la thématique spécifique de la formation des enseignant·e·s et des personnels d’éducation.

Web-conférence du 29 mars 14h/15h – Alain Legardez

Étudier les questions socialement vives (QSV) dans une perspective didactique. Propositions pour la formation initiale et continue des enseignant.e.s.

L’un des objectifs principaux des recherches sous l’angle des QSV a toujours été de développer l’esprit critique des élèves par l’étude de questions triplement vives – dans la société, dans les références des curricula et (potentiellement) dans l’enseignement et la formation – notamment via de multiples outils ou vecteurs comme l’étude des représentations sociales, l’utilisation de la cartographie des controverses ou du débat (réglé et argumenté), et plus récemment l’investigation par la démarche d’enquête. Des chercheurs s’intéressent désormais également à la didactique des « questions sociétales hyper-vives », dans une période de crises avec omniprésence du risque et de l’incertitude. Ces recherches s’inscrivent dans la perspective d’une « éduc-action » à une (éco)citoyenneté instruite, critique et responsable à visée d’émancipation et d’une pédagogie transformatrice-critique. Elles réinterrogent également les objectifs de l’éducation et de la formation des enseignant.es, ainsi que le positionnement des enseignants et des formateurs. L’intervention se centrera d’abord sur une rétrospective de ce champ de recherches, puis sur l’évolution et la diversification de la problématique didactique des QSV, avant de proposer des exemples de contributions pour la formation initiale et continue des enseignant.e.s.

Web-conférence du 9 avril 11h/12h – Manuel Bächtold

L’esprit critique dans l’enseignement des sciences : quels en sont les contours et quelles stratégies didactiques pour le développer ? 

Il s’agira d’abord de cerner les contours de la notion d’esprit (ou de pensée) critique en sciences, en partant de plusieurs définitions et en mobilisant une pluralité d’objets de recherche : la nature des sciences, les croyances épistémiques, les questions socio-scientifiques, l’investigation et l’argumentation. Cette première exploration de la littérature permettra de dresser un tableau d’ensemble qui articule les notions de vision critique (ensemble de représentations), d’esprit critique (ensemble d’habitudes) et de pensée critique (ensemble de compétences et d’activités épistémiques). Seront ensuite exposés une sélection de résultats empiriques sur les relations entre, d’un côté, quatre caractéristiques des élèves pouvant être associées à leur niveau d’esprit critique (leur vision de la nature des sciences, leurs croyances épistémiques, leurs compétences d’investigation et leurs compétences argumentatives), et de l’autre, leur attitude envers les sciences, leur approche de l’apprentissage et leur maîtrise des connaissances scientifiques. Plusieurs stratégies didactiques proposées seront ensuite discutées : sont-elles efficaces et à quelles conditions ? Enfin, seront évoqués les principaux enjeux éducatifs que l’on peut associer au développement de l’esprit critique en sciences.

Web-conférence du 12 avril 14h/15h – Elena Pasquinelli

« Développer l’esprit critique des élèves : l’apport des sciences cognitives pour la formation des enseignants et personnels d’éducation »

Pour faire face aux défis sociétaux et répondre aux besoins de l’individu face à la connaissance, le système éducatif doit assumer la volonté de développer de façon appropriée les capacités de l’esprit critique des élèves, et d’identifier – progressivement, méthodiquement et scientifiquement – les meilleurs moyens d’atteindre cet objectif.
Plusieurs difficultés se présentent alors :

  • une absence de définition claire ;
  • des capacités cognitives fondamentales peu explorées ;
  • un manque de points d’appui scientifiques ;
  • la nécessaire transférabilité des acquis.

En outre, l’éducation à l’esprit critique ne saurait se limiter à une seule discipline, ni à des interventions ponctuelles. Elle doit au contraire être intégrée aux différentes disciplines et opérer de façon méthodique, systématique et régulière, au cours de toute la scolarité de l’enfant et de l’adolescent.

Dans cette conférence, nous proposerons une définition “minimaliste et opérationnelle” de l’esprit critique, en discutant les capacités cognitives qui peuvent servir de bases pour l’éducation à l’esprit critique, en analysant les limites de ces capacités et des stratégies pédagogiques permettant de les outiller et de les développer. Nous nous inspirerons à cette fin d’un rapport produit par le Conseil Scientifique de l’Éducation nationale.

Web-conférence du 16 avril 14h/15h – Nicolas Gauvrit

Les ingrédients psychologiques de l’esprit critique
Le ministère a publié une définition générique de l’esprit critique, dont nous verrons qu’elle recouvre assez bien ce que les modèles scientifiques les plus consensuels avaient à proposer. Poursuivant notre réflexion psychologique, nous proposerons une nouvelle définition, plus resserrée.
À partir de cette définition, nous discuterons l’importance d’un ensemble de traits et de compétences particulières en lien avec l’exercice de l’esprit critique : l’humilité cognitive, la vigilance épistémique, la métacognition, mais aussi un « mindware » fait de connaissances méthodologiques et générales.
Pour conclure enfin, nous listerons les rares « certitudes » qui ressortent des études sur la bonne manière, si elle existe, d’enseigner la pensée critique.

Web-conférence du 23 avril 14h/15h – Edwige Chirouter

« Philosopher avec les enfants : pourquoi et comment ? »

La pratique de la philosophie avec les enfants se développe depuis plus de quarante ans partout dans le monde. Elle développe des habiletés de pensée et des qualités humaines qui sont au cœur même du projet scolaire : le développement de l’esprit critique, l’éducation à a citoyenneté, mais aussi une éthique de la relation à soi et aux autres. Elle défend ainsi une vision de la philosophie d’abord comme expérience vivante.

La conférence interrogera les enjeux politiques de cette pratique à l’école et proposera un dispositif particulier à partir de la médiation de la littérature de jeunesse. Car la littérature et la philosophie ont la même fonction : dire, configurer, penser le monde pour nous permettre de donner du sens à la condition humaine. La littérature est ainsi un support privilégié pour enclencher des discussions philosophiques. La fiction – cet immense « laboratoire de l’imaginaire » (P. Ricœur) – nous permet d’expérimenter une multiplicité d’expériences et de mondes possibles, nous propose des dilemmes, nous fait vivre par procuration et éveille nos affects, tout en les plaçant à bonne distance à travers les personnages. Elle nous aide ainsi à penser le monde et la condition humaine sereinement et rationnellement (N. Nussbaum).

Web-conférence du 27 avril 14h/15h – Pierre Kahn

Perspectives historiques (et actuelles) sur la formation à l’esprit critique. 

Ferdinand Buisson disait que « l’on ne fait pas un républicain comme on fait un catholique », car former un républicain, c’est former un citoyen critique, et non pas un croyant. Ce serait toutefois peut-être trop se hâter que de penser que le projet de formation à l’esprit critique est consubstantiellement lié à la construction de l’école républicaine en France ? Car cette école s’est plutôt caractérisée par son moralisme et son objectivisme, c’est-à-dire sa tendance à voir dans les savoirs qu’elle transmettait des vérités indiscutables.

Il a en fait fallu attendre les années 1960 pour voir se défaire ce moralisme et cet objectivisme et se dessiner un autre modèle, davantage ouvert aux vertus de la discussion critique, à l’échange raisonné des idées et à l’argumentation. Ce modèle a constitué une sorte de « curriculum idéal ». S’est-il traduit dans le curriculum réel des écoles ? C’est une question qui mérite d’être posée tant le fonctionnement effectif des classes tend à le contredire. Un dernier problème se pose aujourd’hui, inédit et redoutable : comment distinguer cet esprit critique espéré du doute systématique, en apparence lui aussi « critique », voire « ultra-critique », des croyances dites complotistes ? La valorisation du premier ne risque-t-elle pas de conduire à une légitimation du second ?

Web-conférence du 28 avril 14h/15h – Laurent Guirard

« La didactique académique de l’éducation artistique comme moyen et comme lieu d’apprentissage de la soumission ou de la non-réflexivité ? »

Pour décrire honnêtement les objets de savoir qu’il promeut, l’enseignement contemporain des disciplines artistiques gagnerait (à l’image de Lahire 2013, Menger 2019, Wallon 1991, Francès 1958…) à accepter un difficile travail interdisciplinaire d’éclaircissement de son sens (hypertrophié, omniprésent, polymorphe et volontiers paradoxal voire opaque).

Or, la didactique académique de l’éducation musicale, trop prise dans des dimensions incantatoires et justificatives que l’écart entre sa haute mission sociale et sa fragilité identitaire renforce, peine à accomplir ce pas-de-côté épistémologique nécessaire à la compréhension de son sens et des rapports aux savoirs en présence (la faible réception dans les dispositifs de formation du très pertinent ouvrage de F. Eloy 2015 pourra en témoigner).

Ainsi, plutôt que d’alimenter une réflexion – aussi difficile qu’utile – sur les liens que toute société tisse entre ses systèmes de symboles et ses structures de pouvoir, ces cours, souvent préoccupés par des « connaissances fondamentales » étrangères aux usages réels du musical, n’encouragent-ils pas implicitement des positions de distinction sociale oscillant entre adhésion de l’un et rejet de l’autre, voire des dispositions peu réflexives oscillant entre militantisme et bris des idoles ?

Web-conférence du 7 mai 14h – Filippo Pirone

Quelle place pour l’esprit critique à l’École ? Étude d’un dispositif éducatif d’éducation par la recherche

Influencé par les recommandations de l’OCDE selon lesquelles l’esprit critique serait l’une des compétences éducatives les plus importantes du 21e siècle (Ananiadou & Claro, 2009), le système éducatif français contemporain promeut de plus en plus le fonctionnement de dispositifs pédagogiques en lien avec cette compétence transversale (Rey, 1996).

À travers une approche sociologique et en discutant les résultats d’une enquête qualitative sur un de ces dispositifs, la communication, divisée en deux parties, se propose d’étudier la place occupée dans l’École française par l’esprit critique et les manières dont cette compétence y est mobilisée, notamment lorsque cela est fait au travers d’un travail autour de la parole des élèves. Pour ce faire, dans une première partie, cet objet sera contextualisé sociohistoriquement et analysé d’un point de vue institutionnel, curriculaire et théorique, notamment à travers l’exploration de la place de l’esprit critique et de la parole de l’élève dans l’évolution de la forme scolaire en France. Deuxièmement, on se penchera notamment sur la manière dont les enseignants pensent l’esprit critique et ses liens avec le travail sur la parole de l’élève et comment cela est travaillé concrètement en classe.

Web-conférence du 10 mai 11h/12h – Amandine Kervella

« Développer l’esprit critique des élèves à travers l’éducation aux médias et à l’information. Quels apports des Sciences de l’Information et de la Communication à la formation des enseignants et personnels de l’éducation ? »

Le développement de l’esprit critique ne peut être envisagé sans évoquer l’éducation aux médias et à l’information (EMI). Tout d’abord, nous montrerons comment l’EMI constitue pour les Sciences de l’Information et de la Communication (SIC) un champ de recherche à part entière et comment les enseignants et éducateurs peuvent mobiliser ces travaux dans leurs pratiques professionnelles. Ensuite, nous montrerons comment les SIC peuvent constituer une ressource centrale pour le développement de l’esprit critique à travers une démarche d’EMI qui ambitionne d’outiller la critique des médias dits traditionnels. Enfin, nous nous pencherons sur le rapport entre esprit critique et “culture numérique”. Nous montrerons comment les SIC produisent des recherches permettant de penser les usages sociaux des technologies et de comprendre les pratiques médiatiques juvéniles et leurs évolutions. Pour conclure, nous montrerons comment les SIC peuvent permettre de penser en quoi l’appropriation d’une culture numérique par des adolescents peut les amener à s’exprimer sans intermédiaire et à exercer un esprit critique outillé et libéré des formats classiques.

Web-conférence du 11 mai 14h/15h – Florian Ouitre

Du praticien-enquêteur en didactique de l’EPS à l’élève-chercheur dans le cours d’EPS, des expériences à problématiser pour construire des postures réflexives et critiques. 

Notre communication va tenter d’illustrer une boucle didactique critique formateur-enseignant-élève. En partant d’une situation de formation en jeux sportifs collectifs (JSC) ayant pour objectif de faire comprendre aux étudiants le poids des éléments constitutifs du règlement (cible.s, espaces, possibilités d’intervention sur la balle/sur les joueurs, etc.) dans l’équilibre du rapport de force entre l’attaque et la défense et l’impact que cela peut avoir sur l’intérêt même du jeu, nous allons tenter de montrer en quoi et comment cette compréhension des JSC est de nature à les enseigner de manière critique et fonctionnelle. Pour l’enseignant, cette compréhension permet des transpositions appropriées de ces JSC qui ne les dénaturent pas et en préservent l’essence. Pour les élèves, ce sera l’occasion de s’approprier en acte cette culture des JSC, de comprendre la nécessité du règlement pour « bien » jouer, d’identifier ce qui préside à sa dynamique constitutive et à ses évolutions, d’apprécier à sa juste valeur ce qui se passe dans les pratiques en dehors de l’école, etc. Finalement, la problématisation des expériences mises en objet est une modalité pour les acteurs de construire cet esprit critique, d’identifier les interrelations entre leurs activités pour les mettre au travail.

Web-conférence du 18 mai 15h/16h – Marion Sauvaire & Marlène Lebrun

Comment développer une attitude critique chez les élèves ? Réflexions et propositions pour la formation du corps enseignant dans le cadre de la discipline du français

Le développement de l’attitude critique chez les élèves peut consister à problématiser quatre relations : la relation à la vérité qui nous constitue comme sujet de connaissance ; la relation au pouvoir du sujet agissant sur les autres (et étant agis par eux), la relation éthique comme sujet de notre action morale, et la relation esthétique, dans ce que constitue le sujet d’une expérience sensible. En didactique du français, ces relations sont envisagées principalement comme des pratiques langagières, tant en réception qu’en production orale et écrite des discours. Le corpus littéraire notamment contribue à développer l’attitude critique des sujets, d’une part, parce qu’ils peuvent problématiser la prétention à la vérité des discours de la connaissance, d’autre part, parce qu’ils peuvent aussi interroger leur propre situation dans le monde d’aujourd’hui. Dans le cadre de la formation, le corps enseignant peut être intéressé par les résultats d’expérimentations didactiques, en particulier, par des dispositifs collaboratifs dans lesquels la lecture et l’écriture sont envisagées comme des pratiques réflexives pour apprendre et pour enseigner. Nous choisissons d’en développer deux : le débat interprétatif et le carnet réflexif partagé.

Public visé

  • Professionnels ayant des missions d'éducation et d'enseignement et chercheurs.

Les intervenants

Alain Legardez

Alain Legardez

Professeur des universités émérite en Sciences de l’éducation de Aix-Marseille Université, chercheur membre du laboratoire ADEF (Apprentissage-Didactique-Evaluation-Formation)
Manuel Bächtold

Manuel Bächtold

Maître de conférences (HDR) en épistémologie et didactique des sciences de l’Université de Montpellier

Elena Pasquinelli

Philosophe spécialiste des sciences cognitives, membre de la Fondation La main à la pâte, membre du Conseil Scientifique de l’Éducation nationale (CSEN) et chercheur associé de l'Institut Jean Nicod (EHESS-ENS-CNRS)

Edwige Chirouter

Maîtresse de conférences (HDR) en philosophie et sciences de l’éducation de l’Université de Nantes, titulaire de la Chaire UNESCO "Pratiques de la philosophie avec les enfants : une base éducative pour le dialogue interculturel et la transformation sociale", membre du Centre de recherche en éducation de Nantes (CREN)
Nicolas Gauvrit

Nicolas Gauvrit

Maître de conférences (HDR) en mathématiques à l’Inspé de Lille, psychologue et chercheur en sciences cognitives, membre du Laboratoire Cognitions Humaine et Artificielle (CHart) des Universités Paris 8, Paris-Est Créteil et de l’EPHE
Pierre Kahn

Pierre Kahn

Professeur en Sciences de l’éducation à l’université de Caen et membre du Centre Interdisciplinaire de recherche Normand en Éducation et Formation (CIRNEF)

Laurent Guirard

Maître de conférences en musicologie à l’université d’Orléans et chercheur permanent de l’Observatoire Musical Français (université de Paris-Sorbonne Paris IV)
Filippo Pirone

Filippo Pirone

Maître de conférences en Sciences de l'Éducation de l’Université de Bordeaux, chercheur membre du Laboratoire Cultures Éducation Sociétés (LaCES)
Florian Ouitre

Florian Ouitre

Maître de conférences à l’Université de Caen, Formateur en Inspé et chercheur associé au Centre de recherche en éducation de Nantes (CREN)
Marion Sauvaire

Marion Sauvaire

Professeure agrégée de didactique du français à l’Université Laval de Québec, Canada
Marlène Lebrun

Marlène Lebrun

Agrégée ès Lettres et didacticienne du français, maîtresse de conférences HDR honoraire et chercheure au LIRDEF de l'université de Montpellier

Les partenaires

INSPÉ

Le Réseau des Instituts Nationaux Supérieurs du Professorat et de l’Éducation (Réseau des INSPÉ) réunit les 32 INSPÉ et l’ENSFEA (École Nationale Supérieure de Formation de l’Enseignement Agricole) qui préparent aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation en France. Le Réseau des INSPÉ représente et fédère ces établissements via des actions de mutualisation, la conduite de projets structurants en appui sur la recherche en éducation, pour irriguer les formations et promouvoir les innovations pédagogiques. Il travaille en collaboration étroite avec la Conférence des Présidents d’Université et en interrelation avec le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Ministères Éducation Jeunesse Sports Enseignement Superieur Recherche

Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports www.education.gouv.fr Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/

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