Comment ne pas constater que dans le contexte actuel de raréfaction de la ressource, on ne peut se contenter de « serrer les vis », alors que le besoin de service public n’a jamais été aussi fort ?… Et qu’il faut s’interroger sur nos pratiques, faire appel à notre ingéniosité pour proposer des réponses possibles.
Cela fait appel à une véritable démarche de coopération, réclame de nouveaux réflexes, interroge les méthodes de management, oblige à décloisonner, demande de l’autonomie et par conséquent du droit à l’erreur.
Aujourd’hui, nombreuses sont les organisations privées comme publiques qui se questionnent sur leur gouvernance et leurs modalités d’application : pouvoir partagé, autorité distribuée, évolution des compétences. Alors douce utopie ou nouvelle réalité ?