Achats, logistique et fonctions support à l'hôpital

 
Ce produit n'est plus disponible à la vente

Achats, logistique et fonctions support à l'hôpital

Renforcez la performance de vos achats et optimisez la gestion de la logistique de votre établissement


 

Nous vous recommandons

Weka Intégral Santé

Weka Intégral Santé

Voir le produit

Partie 1 - Gestion et réglementation des achats hospitaliers
Chapitre 12 - Les deux grandes catégories d’achats hospitaliers

1.12/1 - Les achats directement liés au cœur de métier hospitalier

Les achats d’un établissement de santé peuvent être répartis en deux grandes catégories : ceux qui sont directement liés au processus de soins et ceux qui sont liés aux fonctions support. Les achats directement liés au cœur de métier de l’hôpital représentent plus de la moitié des achats réalisés par les établissements. Ils font l’objet d’une réglementation particulière qui encadre dans un certain nombre de cas leurs prix. Ils sont, de par leur nature, fortement influencés par les prescripteurs, au premier rang desquels figurent les médecins. Cela contribue à renforcer le caractère souvent monopolistique des marchés des produits ou services de santé sur lesquels interviennent les acheteurs hospitaliers. Les achats hors production directe de soins des hôpitaux ne sont pas, sauf exception, spécifiques par rapport à ceux des autres secteurs d’activité que la santé. Ils sont de nature très variée et font l’objet d’une gestion encore trop souvent morcelée, qui ne facilite pas la mise en place d’une relation hôpital-industrie véritablement structurée.

Les achats d’un établissement de santé peuvent être répartis en deux grandes catégories : ceux qui sont directement liés au processus de soins et ceux qui sont liés aux fonctions support.

Les achats directement liés au cœur de métier de l’hôpital représentent plus de la moitié des achats réalisés par les établissements. Ils font l’objet d’une réglementation particulière qui encadre dans un certain nombre de cas leurs prix. Ils sont, de par leur nature, fortement influencés par les prescripteurs, au premier rang desquels figurent les médecins. Cela contribue à renforcer le caractère souvent monopolistique des marchés des produits ou services de santé sur lesquels interviennent les acheteurs hospitaliers.

Les achats hors production directe de soins des hôpitaux ne sont pas, sauf exception, spécifiques par rapport à ceux des autres secteurs d’activité que la santé. Ils sont de nature très variée et font l’objet d’une gestion encore trop souvent morcelée, qui ne facilite pas la mise en place d’une relation hôpital-industrie véritablement structurée.

Un montant correspondant à plus de la moitié des achats

Les dépenses relatives à l’acquisition des produits (équipements médicaux, médicaments, dispositifs médicaux, informatique médicale, etc.) et des prestations de service (examens médicaux réalisés à l’extérieur, transports sanitaires, maintenance et contrôle qualité des appareils médicaux, externalisation de la stérilisation, etc.) liées directement à la production des soins représentent plus de la moitié du portefeuille d’achat hospitalier.

Il...

Si vous êtes déjà abonné, connectez-vous pour accéder à la publication dans son intégralité.