Elles sont au nombre de deux. D’abord, la sécurisation de l’administration du MRP : le bon MRP, avec la bonne activité, au bon patient, avec :
- élaboration d’un support unique de la prescription à l’administration ;
- sécurisation de la mise en seringue, de la reconstitution, de la préparation et de la dispensation du MRP, quel que soit l’opérateur habilité ;
- séparation des circuits des MRP diagnostiques et des MRP thérapeutiques ;
- sécurisation de l’administration des MRP (bon MRP au bon patient) et vérification des contre-indications à l’examen.
Et ensuite, l’amélioration de la qualité de l’information délivrée après un examen de médecine nucléaire, et après un traitement par radiothérapie interne vectorisée, pour s’assurer de la bonne compréhension et de la compliance du patient et de son entourage.