La taille des caractères doit être au minimum de 3 % de la distance de lecture (3 cm pour 1 mètre, par exemple).
La famille de police dite « linéale » ou « bâton » est la plus conseillée en signalétique. Sa caractéristique principale est l’absence d’empattement et de délié. Les plus courantes sont l’Arial et l’Helvetica.
C’est peu recommandé. Utilisez des pictogrammes (normalisés de préférence) et des photographies pour illustrer les mentions chaque fois que c’est possible.
Les indications doivent être disponibles au point de la prise de décision (croisement de couloirs, choix entre plusieurs guichets…). Ces dispositifs ne doivent pas être placés en contre-jour, ni proches d’une source de lumière éblouissante.
La signalétique directionnelle doit être vue de loin et doit être accrochée à au moins 180 cm du sol. Le reste de la signalétique, qui doit pouvoir être lue en position assise ou debout, doit être à une hauteur comprise entre 90 et 160 cm. Les documents qui nécessitent une lecture rapprochée, comme les plans, doivent être approximativement à une hauteur de 120 cm du sol.
Non, l’Afnor se borne à poser des règles de bonnes pratiques. Le Gouvernement et le milieu associatif proposent, sur cette base, des pictogrammes de leur création. Leur usage n’est jamais obligatoire. Pour autant, il est recommandé, dans la mesure où, souvent, ils sont déjà connus des usagers. De très nombreux exemples de pictogrammes peuvent être trouvés en ligne (cf. « Aller plus loin »).