Il peut s’agir de la taille et de l’âge minimal comme du niveau de pratique de l’activité.
Selon les disciplines sportives pratiquées, on pourra exiger des tests techniques ou la production de certificats médicaux. Dans certains cas, notamment pour les activités de baignade, l’aptitude à savoir nager est impérativement vérifiée.
Ces prérequis (cf. fiches réglementaires) peuvent être demandés aux parents lors de l’inscription de leur enfant au centre de loisirs ou être vérifiés par des professionnels avant l’exercice effectif de l’activité.
Ces prérogatives sont celles mentionnées dans le référentiel du diplôme et sont précisées sur la carte professionnelle d’éducateur sportif : les compétences propres de l’éducateur sportif (connaissance du milieu naturel, aptitude physique au moment de l’activité) peuvent le conduire à limiter le champ d’intervention mais en aucun cas à dépasser les prérogatives réglementaires.
Le recours à des professionnels qualifiés n’exonère pas l’animateur ou le directeur de toute responsabilité. En effet, l’équipe d’encadrement se doit de vérifier que le professionnel dispose de toutes les garanties obligatoires. Toutefois, dans l’encadrement in situ de l’activité, c’est le professionnel qui est responsable en tant que tel.
Oui, celles considérées comme particulièrement dangereuses en fonction du niveau technique de pratique requis. Par exemple, la pratique de l’alpinisme en haute montagne n’est autorisée qu’à partir de 12 ans pour des mineurs en bonne condition physique. D’autres ne peuvent être autorisées qu’au-delà d’un certain âge. Pour en connaître le détail, se reporter aux fiches réglementaires de chaque activité.