Le professionnel doit s’adapter aux besoins changeants du malade, à ses capacités changeantes, à son humeur et envies changeantes.
Bien qu’elle perde au fil du temps son autonomie, le malade conserve, contrairement aux enfants, son passé lointain qui lui permet de communiquer avec ses proches. Il faut donc maintenir une relation d’adulte à adulte et ne pas le considérer comme un enfant.