Contexte
En 2008, l’Insee démontrait que les associations représentaient 1,4 % du PIB. Le rôle social des associations résidait dans les services proposés aux personnes, le bénévolat, les redistributions directes faites aux ménages. Près de la moitié de leur activité relevait de l’action sociale, c’est-à-dire de l’aide aux personnes fragilisées.
Sans avoir la prétention de définir l’utilité sociale des associations dans l’absolu, cette fiche est destinée en priorité aux dirigeants, présidents, administrateurs et directeurs généraux soucieux de voir le maintien de leurs activités et de leurs financements publics. En effet, ces acteurs dans une question de survie, doivent réagir devant une concurrence imposée dans les secteurs de l’action sociale et médico-sociale.
Pour se différencier, les associations gérant des IME doivent évaluer leur utilité sociale et répondre aux attentes des financeurs qui laissent une libre concurrence s’installer dans les appels à projets.