Selon l’Association des Maires Ruraux de France (AMRF), il y a nécessité à populariser davantage l’argumentation autour du bien-fondé de cette réforme des rythmes scolaires. Il revient à l’État de mener ce travail, au plan national, afin de ne pas oublier « les apports positifs » directement liés à l’intérêt des élèves.
Enfin, si l’AMRF soutient les « objectifs » de cette réforme , il demande toutefois un « assouplissement » du calendrier d’application pour les communes qui ne seraient pas prêtes, sans pour autant se ranger derrière les drapeaux des députés puis désormais des sénateurs UMP qui réclament une loi pour le libre choix des maires.