Le ministre a déclaré que cette délégation ministérielle était « une nouveauté absolue, une rupture dans l’histoire de l’Éducation nationale ». Elle est prévue pour opérer sur une période d’une dizaine d’années car le travail ne peut se faire que sur du long terme.
Premier chantier à engager : celui de l’aide au repérage et à l’observation des phénomènes de violence en milieu scolaire. À ce sujet, Éric Debarbieux va mener une enquête de victimation dans le second degré, à l’instar de celle dans le premier degré.
Autre tâche : formuler des propositions de contenus spécifiques sur le sujet de la violence pour la formation des futurs enseignants et personnels d’éducation au sein des futures écoles supérieures du professorat et de l’éducation.