Cette situation n’est connue que tardivement par les associations concernées, deux mois seulement avant la fin de l’année civile au lieu de mi-juillet traditionnellement. Les marges de manœuvre sont donc plus qu’étroites. Le ministère reconnaît que 2011 est moins clément. Sur 203 demandes de subvention, il a donné 122 réponses favorables pour un montant total de 6,5 millions d’euros contre 8,9 millions d’euros l’an dernier.
Pas le choix ? Le CAPE estime, lui, que « c’est à grands coups de ciseaux que ce ministère traite ses partenaires » et craint pour l’avenir. Il interpelle ainsi Luc Chatel à l’heure de la préparation du budget 2012 pour freiner cette baisse des subventions.