N’ayant pas obtenu de réponse à leur lettre datant de juin 2012 dans laquelle elles demandaient l’abandon de la généralisation des CCF, les six organisations syndicales récidivent. Selon elles, la réforme de la voie professionnelle a conduit à « une perte d’heures d’enseignement » pour les élèves.
À cela s’ajoute un stress croissant des élèves face à ce qu’ils considèrent comme « une évaluation perpétuelle ».
Enfin les syndicats dénoncent « une perte d’anonymat et d’équité face aux épreuves ».