Des expériences internationales sur l’introduction des échecs à l’école tendent à montrer que « les enfants qui ont suivi une initiation réussie ont un niveau de performance plus élevé, toutes choses égales par ailleurs », précise la circulaire. Le jeu d’échecs implique en effet « logique, stratégie, rigueur, concentration, mémoire et capacité d’abstraction », tout en favorisant l’acquisition de compétences « mathématiques ».
A l’école élémentaire, la démarche du jeu par essais et erreurs, par la recherche de causalité, d’équivalence, de temporalité, « vient en appui des enseignements mathématiques et scientifiques principalement en matière de résolution de problèmes ». Au collège et au lycée, les échecs peuvent être utilisés comme « support de situations géométriques variées et générateur de grands nombres ».
Une liste de sites d’informations est proposée dans la circulaire ministérielle pour aider les enseignants à préparer cet enseignement.
En savoir plus :
Lire la circulaire.