Dans une lettre adressée à Vincent Peillon, datée du 23 octobre 2013, six organisations intersyndicales proposent la création d’une « banque nationale de sujets pour éviter d’avoir à en produire systématiquement de nouveaux ».
Elles demandent par ailleurs que l’élève évalué oralement ne le soit pas par son propre enseignant et que ce travail donne lieu à rémunération, comme c’est d’ailleurs le cas pour tout examinateur d’autres d’épreuves. Enfin, elles souhaitent qu’un groupe de travail puisse se réunir sur ces questions.