Les nouvelles modalités d’épreuves au baccalauréat sont visées car elles en seraient plus « terminales et nationales ». En découlant, l’équité et l’égalité entre élèves ne seraient plus assurées. À cela, il faut ajouter la charge supplémentaire de travail occasionnée pour les enseignants.
Les deux organisations relancent cette pétition intitulée « Langues vivantes : stop aux dérives » initiée l’an dernier déjà car, depuis l’arrivée de Vincent Peillon, ce dossier n’a pas bougé d’un iota. Moins de 3 500 signatures en 7 mois : sera-ce suffisant pour faire plier le ministre ?