Selon le Dgesco, « il ne s’agit pas de créer un système éducatif à part. Ce qui doit être fait en éducation prioritaire doit être fait partout ». Le gouvernement veut ouvrir le débat sur « l’étendue de la politique éducative prioritaire et la cohérence du territoire avec celle de la politique de la ville ».
Les axes tournent autour de :
- La priorisation, en termes de moyens, sur les zones en très grande difficulté.
- La sortie en douceur de certains établissements qui ne relèvent pas de cette concentration de difficultés.
- La remise en avant de l’action pédagogique.
- Une plus grande autonomie laissée aux acteurs de terrain.
- La mise en place d’« une politique de ressources humaines adaptée » dans ce secteur.