Environ 500 personnes, élus et techniciens des régions, responsables de services de l’État et des collectivités territoriales, partenaires associatifs, représentants des mouvements de jeunesse, participeront à la manifestation.
Le séminaire évoquera notamment l’enquête effectuée pour Le Monde et rendue publique le 24 novembre, dans laquelle 81 % des personnes interrogées estiment qu’il est difficile d’être un jeune aujourd’hui en France et 71 % pensent que la situation des jeunes s’est détériorée par rapport aux générations précédentes.
Les régions rappellent qu’elles investissent chaque année dans l’éducation plus de 6 milliards d’euros, soit 99 euros par habitant, et dans l’apprentissage et la formation professionnelle plus de 5 milliards d’euros, soit 80 euros par habitant », et qu’elles ont de manière générale « des responsabilités importantes tout au long du cursus, depuis l’entrée au lycée jusqu’à l’arrivée sur le marché du travail ».
Les rencontres de jeudi et vendredi ont pour objectif de « favoriser l’émergence de projets et de valoriser les expériences des régions porteuses de résultats pour la jeunesse ».
Les vingt régions mobilisées à cette occasion espèrent « aboutir à un ensemble de propositions concrètes autour des thématiques de l’emploi, de la formation, du logement, de la citoyenneté, de la santé et de la culture ».
Sont associés ou participent aux rencontres, notamment, Catherine de Labarre, DG du CIDJ (Centre d’Information et de Documentation Jeunesse), Thibault Renaudin, secrétaire national de l’AFEV (Association de la fondation étudiante pour la ville), Laurianne Deniaud, conseillère Jeunesse de François Hollande, Philippe Meirieu, 1er vice-président de la région Rhône-Alpes et président de la Commission « Jeunesse » de l’ARF, Mikael Garnier-Lavalley, DG de l’ANACEJ (Association nationale des conseils d’enfants et de jeunes) et Ahmed El Khadiri, DG d’Animafac.
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