L’objectif de cette réforme est d’atteindre le chiffre de 800.000 alternants en 2015, qui passeraient 50% de leur temps en entreprise, via des contrats d’apprentissage ou des stages. Actuellement, ces élèves bénéficient de 22 semaines de stage durant les trois ans de lycée, dont huit en terminale.
Cette réforme inquiète les enseignants. Le Snetaa-FO, premier syndicat de l’enseignement professionnel, y voit par exemple une nouvelle occasion de supprimer des postes et de « casser le corps de professeurs » en faisant « passer la formation sous le joug du MEDEF ».