Menu actualité
Actualité
- 23/07/20 Adoption de conditions adaptées pour le bénéfice des prestations en espèces Covid-19
- 22/07/20 Pas de remise des pénalités de retard qui représentent moins de 2% du montant du marché
- 21/07/20 Pas de recouvrement possible des pénalités de retard après le décompte général et définitif
- 21/07/20 Convention de rupture conventionnelle dans la fonction publique
- 20/07/20 Pas d’indemnisation pour le titulaire d’un marché régulièrement résilié pour faute
- 20/07/20 Mise en place d’un référent déontologue dans les collectivités territoriales
- 17/07/20 Rémunération du maître d’œuvre : comment apprécier le taux de tolérance ?
- 17/07/20 Cadres d’emplois d’agents de police municipale et de gardes champêtres
Convention de rupture conventionnelle dans la fonction publique
Fonction publiquePubliée le 21/07/20 par Rédaction Weka
La réponse à la question écrite n° 26304 du 7 avril 2020 apporte des précisions sur les exigences liées aux conventions de rupture conventionnelle dans la fonction publique.
Le dispositif de la rupture conventionnelle dans la fonction publique est une procédure prévue par le décret n° 2019-1593 du 31 décembre 2019. L’arrêté fixant les modèles de convention de rupture conventionnelle, prévu en application de ce texte et daté du 6 février 2020 a été publié au Journal officiel le 12 février 2020. Il prévoit un modèle-type de convention, adapté pour chaque type d’agent public concerné par ce nouveau dispositif de sortie de la fonction publique : les fonctionnaires des trois versants, les agents contractuels des trois versants en contrat à durée indéterminée, les ouvriers de l’État et les praticiens en contrat à durée indéterminée des établissements publics de santé. Le modèle contient des informations sur les parties signataires et les entretiens réalisés préalablement par l’agent et l’administration. Le modèle de convention défini par l’arrêté peut faire l’objet d’adaptation, en fonction des spécificités des administrations. Toute convention doit toutefois contenir, conformément aux dispositions du décret du 31 décembre 2019, le montant de l’indemnité spécifique de rupture conventionnelle, ainsi que la date de cessation définitive des fonctions, de fin du contrat ou de rupture de l’acte d’engagement, déterminés par les parties d’un commun accord. Pour satisfaire au contrôle de légalité, les mentions obligatoires doivent figurer dans la convention et celle-ci doit être conforme aux exigences légales et réglementaires, s’agissant notamment du montant de l’indemnité attribuée à l’agent.
Texte de référence : Question n° 26304 de M. Bruno Bilde (Non inscrit – Pas-de-Calais) du 4 février 2020, Réponse publiée au JOAN le 7 avril 2020, page 2 652

WEKA et le cabinet Landot et associés vous donnent rendez-vous toutes les semaines pour analyser l’essentiel de l’actualité juridique du monde territorial : l’expertise en 10 minutes au plus proche de vos besoins.
[ép. 98] Commande publique sociale et durable : les SPASER, ou comment passer d’une obligation à un outil utile
Diffusé le 23 mai 2022 - 18min